"Vous allez voir demain ce sera une journée intéressante", avait dit la grenouille hier à l'apéro. Et juste après elle a ajouté "vous allez bien réussir à vacher 4 ou 5 K13".
Le batracien parti à 8h20 en avion, le petit peuple de la Montagne Noire se met doucement en mouvement. L'APPARAT attaque à 8h à la perceuse et à la scie. Bédarieux vient vérifier si la verrière a bien tenu. "Si elle passe la nuit, elle a une chance" annonçait le chirurgien la veille, son pot de résine à la main. Juju également commence à préparer le circuit vers 8h30. Non je déconne.
Il n'empêche que Juju et Tom planchent sur le circuit assez tôt. François voulait lancer Gaillac Albi, ce sera Gaillac tout court. AVec l'aller par Revel et Bourg. Pourquoi Revel ? Ben pour aider les concurrents à ne pas mordre la zone.
Les plastiques du club décollent un peu plus tôt, c'est pour faire les buses. On les laisse partir et on les rattrapera plus tard.
Premier décollé, le GA se repose peu après. Pourtant ça pompe, mais ce n'est pas forcément facile partout.
Quand le dernier K13 décolle, la porte du circuit s'ouvre et tout le monde s'y engouffre.
Pour les détails des vols, voyez avec chaque équipage. En gros l'aller se fait vent de face, et le retour presque en ligne droite. 2 pompes sur 50 bornes pour les meilleurs.
On sait que le CILS et le CK se sont tirer la bourre, sous le regard amusé du 66 qui était de toute façon devant.
Le NB a décidé de perdre 20 minutes à Revel au départ, pour ne pas perturber les autres concurrents qui de toute façon étaient loin devant.
Au classement, ça se voit :
Mais perf ou pas, c'était en effet une journée intéressante. Pas forcément facile, mais intéressante. Comme le disait la grenouille.
En fin de journée les seconds vols permettent de tenir un peu plus longtemps, en local. Julien, dans le LS1, tente et réussit Dourgne. Il réussit même à se poser alors que non-non-non pas envie. Un bout de pente donc, mais que pour les crevards.
Une fois tout rangé, on passe à l'apéro. Apéro spécial car japonais, en la présence de Julien (de retour) qui fête son anniversaire en sortant une grosse bouteille de saké. Mais attention, du saké japonais, beaucoup plus doux que le chinois que vous buvez au restaurant.
La journée se termine par le traditionnel cassoulet de la belle-sœur de Bernard. Il y avait 12 noms au tableau, il nous avons commandé pour 24. A la fin, il en reste pour 2 ou 3. C'est Cora qui fait les maths, ne me demandez pas...
Et en hommage à Julien et Maxime qui en raffolent, du pain perdu pour le dessert, avec une boule de glace. Allez hop, à la sieste tout le monde !
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