Ce WE marquait l'ouverture de la saison des stages.
Le premier stage se passe à Luchon.
Pas mal de participants cette année (une dizaine), les belles images tournées l'année dernière n'y sont peut être pas pour rien !
Le club a donc décidé de partir avec 2 biplaces (Janus et Ka13) et 2 monoplaces (LS4 et LS1).
Le planeurs ont été démontés samedi pour gagner un peu de temps et pouvoir débuter la transhumance dés dimanche matin dans l'espoir de voler l'après midi.
Transhumance en ordre dispersé: Florian part le premier avec le LS4 depuis Toulouse et arrive sans encombre à Luchon dans la matinée, jusqu'à là tout va bien.
Il est suivi de prêt par Alexandre avec le Janus au départ de Colomiers puis de Franck avec le Ka 13 et Luc avec le LS1.
C'est en milieu de matinée que les choses sérieuses ont commencés.
10h30 : La boite de vitesse d'Alexandre casse. Il arrive à sortir de l'autoroute, trouve un parking pour y laisser la remorque et attendre une dépanneuse. A Luchon, Frédo se met en route pour récupérer le malheureux et son attelage. La voiture va rester chez le mécano pour la semaine en attendant de trouver une boite de vitesse.
13h00: au tour de Luc : A 10km de St Gaudens, un petit bruit de roulement discret mais persistant attire son attention et l'incite à faire un stop au premier abris venu. Plutôt une bonne idée car un tour rapide de l'attelage révèle un gros problème sur la roue gauche en passe de se faire la malle... Impossible de repartir dans cet état. Impression de déjà vu... (Stage Causse Méjean en 2013, Stage St Crépin 2016).
Appel au centre routier qui tente de joindre plusieurs dépanneurs qui semblent effrayés par la taille de la remorque.
Au final c'est un dépanneur poids lourd qui finira par arriver, d'abord avec un camion, puis un deuxième équipé d'une grue pour hisser la remorque sur le premier.
Entre temps un "Gilet Jaune" arrive pour sécuriser la zone, l'occasion de discuter accidents d'autoroute, cadences infernales, etc...
La manip prends plusieurs heures et nécessite la neutralisation d'une voie d'autoroute.
Par chance le club de St Gaudens n'est qu'à quelques km, c'est donc là que le LS1 est déchargé par les dépanneurs.
L’accueil par les membres de St Gaudens est sympathique et la présence d'un remorqueur nous permet d'envisager un convoyage air du LS1 vers Luchon
Quelques renforts arrivent donc de Luchon pour remonter le LS1 qui finira par arriver par les air à destination vers 19h.
Entre temps certains ont pu voler en Janus et en K13.
Journée pas terrible d'un point de vue mécanique, mais il faut voir le coté positif :toutes les machines et tous les pilotes sont arrivés a destination en bon état.
lundi 23 avril 2018
lundi 16 avril 2018
Dimanche 15 avril : une météo plutot sympatique !
Ce n’est que vers 14h que les premiers décollages ont eu lieu, certains voit un lien de cause à effet avec la soirée de la veille…
un peu de repos avant les vols, la douceur printanière
Dans tous les cas la météo était là, avec un plafond sous cumulus à 1950m, juste sous le niveau 65 pour ne pas être frustré, parfait !
Au total, presque 30h de vol, avec des circuits en grand local, même pour le K8 aux mains de Christophe qui ne se rappelait plus avoir été si loin (le K8, pas Christophe !). Vincent en a profité pour faire son gain de 1000m, il se sentait mal, ça faisait 2 semaines qu’il n’avait pas arrosé quelque chose ! Les LS4 ont bien volés, L’ASH de François a fait le tour des départements, Jacques Ricard s’est occupé de la double, on a eu quelques VI. Il y a même eu un peu de pente en fin de journée.
Bref une bonne reprise après quelques week end non volable, ça fait plaisir et on en redemande.
Samedi 14 avril : haltérophilie, électronique, gastronomie et massacre à la tronçonneuse
Pour le samedi 14 avril,
les prévisions météo n’étaient vraiment pas géniales. del'autan quoi... Et pourtant on aurait dû regarder ça de plus près, il y avait surement le moyen de tester l’onde de sud de
8h du matin à 14h… Pour une prochaine fois
C’est pas grave il y avait
du monde, et du boulot.
Certains ont commencé par tester le nouveau remorqueur.
Et bien c’est un Rallye, et il vole comme un Rallye ! Parfait
Pierre Fouilleul dépose une
nacelle pour cette semaine à la Montagne pour inspecter le hangar et faire
quelques travaux sur la façade du hangar.
Certains médisants (mé)disent
que c’est pour monter l’ASH…
Tandis que dans le hangar
mono, on fait de l’haltérophilie à grand renfort de plan central de Schleicher,
Thierry et Luc font de l’acrobatie sur la tour pour monter l’antenne 4G pour l’installation
de l’antenne OGN pour pouvoir voir les planeurs sur Flight Radar. On prévoit
aussi une webcam et un ordinateur pour avoir la météo en piste.
Henri, quant à lui, finit
l’installation des vario S7 en les couplant au FLARM pour avoir le GPS. Vous n’avez
rien compris ? C’est normal, il va falloir venir au cours théorique qu’on
organisera pendant les 6 jours de la montagne pour voir comment ça marche.
Gaby, quant à lui s’occupe
du réglage du FLARM du Rallye nouvellement installé (le 1er vol d’essai
a montré qu’il ne fonctionnait pas… Le deuxième a prouvé, quant à lui, son
fonctionnement).
Et dans l’atelier,
Bernard, Philippe et Jean Claude bossent d’arrachepied sur l’entoilage du SF.
Mais tous ignorent le drame
qui est train de se dérouler à seulement quelques dizaines de mètres. Un vrai
massacre à la tronçonneuse.
Jean-Claude Aubin et ses complices
Hervé, Christophe et Vincent sévissent dans les sous-bois en bout de 30. Sous
couvert de respecter la trouée d’envol, Jean-Claude tronçonne à tout va les
arbres qui nous font l’affront de grandir un peu. Le tas de bois pour les
barbecues s’en est trouvé drôlement grossi !
Les bucherons en action
Un grand merci à
Jean-Claude et sa tronçonneuse magique pour le travail accompli !
Et un merci à Gaby pour
avoir sorti la safrane, embourbée pendant l’opération.
La fin d’après-midi côté
cuisine était moins mouvementée. Julien, accompagné de sa brigade,
majoritairement féminine cette fois, s’occupe du repas : la salade de
lentilles cuit, le carré de porc est à confire, la purée en préparation et le
punch est bientôt mis en cellule de refroidissement (au conglo quoi !).
Et quand tout le monde a terminé, l’apéro était prêt et le ciel s’est dégagé à l’ouest pour nous offrir un coucher de soleil magnifique. Les enfants gambadaient dans l’herbes, les grands essayaient d’allumer un tas de brindilles sans succès, on raconte des conneries, on philosophe sur la météo. Certains ont encore vu le rayon vert. Enfin ceux qui avaient déjà bu 2 verres de punch.
Après l’apéro on passe à
table pour une bonne soirée, agrémentée des restes de vin de l’arrosage de
Vincent et Frédéric.
Nous n’avons pas de données sur l’heure de fin de soirée, certains dormaient sur place pour profiter de la bonne journée du lendemain. Quand le gros de la troupe est partie (personne n’est gros !), les survivants se risquaient dans le bizarre en sortant la Mirabelle maison de Vincent. Demain il faudra les lunettes de soleil !
mardi 10 avril 2018
Un rallye entre soisson et la Montagne Noire
Votre CA vous en parle depuis un petit moment, le Midour ne sera plus seul dans le grand hangar Mistral. Certes, un autre « motorisé » l’accompagnait depuis belle lurette ( le SF28 puis le 25 ) mais sans manquer de respect à ces valeureuses machines, ils n’étaient pas tout à fait du même monde… Et quand le Midour devait passer un peu de temps à l’atelier, l’activité se limitait la plupart du temps à quelques tours en SF. Même avec votre équipe de mécanos au travail et essayant de limiter son temps d’absence, le besoin d’un 2ème avion se faisait sentir. Certes, les projets d’Abeille en CNRA animaient régulièrement les conversations hivernales mais le budget et le temps à consacrer à une telle entreprise limitaient la faisabilité d’un tel chantier…
Votre Conseil d’Administration se lançait dans la chasse aux annonces. Le club de Soissons se séparant de son avion remorqueur ( celui-ci ayant été remplacé par un ULM…), VVMN s’est montré rapidement intéressé par cette machine. Un potentiel moteur conséquent, idem pour l’hélice, une cellule semblait-il en bon état, bref, il fallait aller voir ça de plus près. Ce fut fait par Gaby et le trésorier. Un aller-retour express par une belle journée d’hiver (je déconne…) et le CA avait les garanties pour se lancer dans l’achat de l’avion. Les différentes formalités (acte de vente, paiement etc… ) étaient accomplies le jour même et le suivi de navigabilité serait effectué par Gaby.
Se posèrent alors un certain nombre de questions quant au rapatriement de la machine. On peut citer entres autres :
- Qui est dispo pour la manip et quand ?
- Comment montent-ils à Paris puis à Soissons ?
- Les gens de Soissons pourront-ils être dispos également le jour choisi ?
- Sur quel parcours ? Pour l'instant la machine n'est pas équipé de transpondeur
- Les zones militaires seront-elles actives ?
- Sur quels terrains pourrons-nous refaire ( si besoin ) de l’essence ?
- Sur quel parcours ? Pour l'instant la machine n'est pas équipé de transpondeur
- Les zones militaires seront-elles actives ?
- Sur quels terrains pourrons-nous refaire ( si besoin ) de l’essence ?
- Et bien sûr, la météo sera-t-elle bonne sur tout le trajet ?
Un équipage de routiers (ou de poids-lourds diront certaines mauvaises langues…) se propose : la team Beaufils-Moulinier. Habitués à partager les grandes envolées sur l’Atlantique, l’Afrique ou la Sibérie, ils devraient arriver à s’entendre sur un tel trajet…
Une première tentative est programmée pour le lundi 26 Mars. Une rotation ensemble sur La Réunion juste avant nous permet de préparer la navigation et de faire l’inventaire des différents espaces à traverser. Le mécano de Soissons peut nous récupérer à Roissy le matin et la météo semble être assez bonne. Semble seulement… Au fur et à mesure du séjour sur l’Ile Bourbon, la météo se dégrade et il nous apparaît qu’une première perturbation ne s’évacue pas aussi vite que prévu et qu’une 2ème a une petite tendance à vouloir rattraper l’autre… Le créneau qui était favorable au départ, ne l’est plus trop. On profite du vol retour pour suivre les derniers TAF et METAR et à l’arrivée à Orly le lundi matin, il faut se faire une raison, ça sera pour une autre fois. Et bien nous en a pris, la région de Limoges est restée dans le brouillard toute la journée…
La semaine d’après, une nouvelle fenêtre de tir se présente. Je dois rentrer de Santiago du Chili le Jeudi 5 Avril au matin. Les prévisions des jours précédents sont bien meilleures et les tendances ne varient pas trop. Mais mon acolyte n’est plus libre, reparti vers d’autres cieux. Clément, notre ancien remorqueur peut éventuellement me rejoindre sur Roissy et, le mécano soissonnais n’étant pas libre, il trouve des membres du club pour nous accueillir et c’est Madame Aurélie qui nous conduira à Soissons.
Retour donc de Santiago dans la nuit du 4 au 5, atterrissage à Roissy à 7h30. Un dernier point sur les météos en route, les Notams, les zones militaires et basse altitude et on profite du trajet vers Soissons pour peaufiner la navigation.
Comme notre nouvel oiseau n’a pas de transpondeur, il ne faudra pas compter sur des transits directs dans les TMA et autres CTR… Nous arrivons au terrain vers 9h15, le temps étant légèrement pluvieux, on fait la prévol dans le hangar. Sortie de l’avion et on fait le plein complet des 170 litres des réservoirs. D’après les calculs avec les éléments du manuel de vol, on devrait pouvoir rejoindre la Montagne en direct. Le vent ne nous sera pas favorable, au moins sur la première moitié du vol. Un dernier café avec les locaux, un dernier au revoir à leur désormais ancien remorqueur et c’est le départ vers 10h20. Malgré la faible utilisation de l’avion depuis un an, il démarre au quart de tour et un point fixe plus tard, nous voilà partis !!
Un équipage de routiers (ou de poids-lourds diront certaines mauvaises langues…) se propose : la team Beaufils-Moulinier. Habitués à partager les grandes envolées sur l’Atlantique, l’Afrique ou la Sibérie, ils devraient arriver à s’entendre sur un tel trajet…
Une première tentative est programmée pour le lundi 26 Mars. Une rotation ensemble sur La Réunion juste avant nous permet de préparer la navigation et de faire l’inventaire des différents espaces à traverser. Le mécano de Soissons peut nous récupérer à Roissy le matin et la météo semble être assez bonne. Semble seulement… Au fur et à mesure du séjour sur l’Ile Bourbon, la météo se dégrade et il nous apparaît qu’une première perturbation ne s’évacue pas aussi vite que prévu et qu’une 2ème a une petite tendance à vouloir rattraper l’autre… Le créneau qui était favorable au départ, ne l’est plus trop. On profite du vol retour pour suivre les derniers TAF et METAR et à l’arrivée à Orly le lundi matin, il faut se faire une raison, ça sera pour une autre fois. Et bien nous en a pris, la région de Limoges est restée dans le brouillard toute la journée…
La semaine d’après, une nouvelle fenêtre de tir se présente. Je dois rentrer de Santiago du Chili le Jeudi 5 Avril au matin. Les prévisions des jours précédents sont bien meilleures et les tendances ne varient pas trop. Mais mon acolyte n’est plus libre, reparti vers d’autres cieux. Clément, notre ancien remorqueur peut éventuellement me rejoindre sur Roissy et, le mécano soissonnais n’étant pas libre, il trouve des membres du club pour nous accueillir et c’est Madame Aurélie qui nous conduira à Soissons.
Retour donc de Santiago dans la nuit du 4 au 5, atterrissage à Roissy à 7h30. Un dernier point sur les météos en route, les Notams, les zones militaires et basse altitude et on profite du trajet vers Soissons pour peaufiner la navigation.
Comme notre nouvel oiseau n’a pas de transpondeur, il ne faudra pas compter sur des transits directs dans les TMA et autres CTR… Nous arrivons au terrain vers 9h15, le temps étant légèrement pluvieux, on fait la prévol dans le hangar. Sortie de l’avion et on fait le plein complet des 170 litres des réservoirs. D’après les calculs avec les éléments du manuel de vol, on devrait pouvoir rejoindre la Montagne en direct. Le vent ne nous sera pas favorable, au moins sur la première moitié du vol. Un dernier café avec les locaux, un dernier au revoir à leur désormais ancien remorqueur et c’est le départ vers 10h20. Malgré la faible utilisation de l’avion depuis un an, il démarre au quart de tour et un point fixe plus tard, nous voilà partis !!
Décollage à 10h25 en piste 25, bien humide après les averses de ces derniers jours, et mise de cap plein sud en montant vers 2000 ft. Pour éviter les contraintes de l’est-parisien, on prévoit de passer par Château-Thierry puis la Ferté-Gaucher (sortez vos cartes pour la suite de la lecture !). Les premières estimées nous confirment le fait qu’on a une composante non négligeable de vent ¾ avant. Ajouté à cela, quelques grains à éviter en chemin. On passe juste à l’est de Provins vers 11h et on fait attention à ne pas rentrer dans la TMA Seine ( Est de Melun ), le cap est maintenant au 210 en route directe vers Gien et sa célèbre centrale nucléaire. On profite de quelques beaux alignements pour cheminer et améliorer un peu la vitesse sol. Quelques sms au Président et à Gaby pour les tenir au courant de l’avancée du vol et nous poursuivons notre bonhomme de chemin, bercés par le ronronnement du Lycoming.
Le suivi du carburant nous permet rapidement de voir que les jauges du Rallye sont toujours aussi fiables, surtout celles du réservoir droit. On fait 30 minutes sur chaque réservoir et on se relaye régulièrement au pilotage de la bête. Le plafond est maintenant autour de 4500 ft et on monte provisoirement à 3500 ft. Le prochain changement d’altitude devrait avoir lieu dans le secteur d’Aubigny. Pour le moment, on passe l’Yonne vers 11h10 en route vers l’Est de Montargis que l’on aperçoit vers 11h20 et nous voici déjà en vue de Gien.
Centrale de Gien
On met le cap vers Aubigny, atteint à 11h50 et on descend donc à 2500 ft pour passer sous les zones d’Avord (R20B5 et R20B3W). Heureusement, les zones basse altitude ne sont pas actives, c’est quand même plus pratique de se balader dans des coins inconnus avec un peu d’eau sous la quille…
On passe à l’Est de Vierzon peu après midi, en route vers le terrain d’Issoudun que nous survolons 15 minutes plus tard.
Aérodrome d'Issoudun
Ensuite, ce sera la route 185° vers Guéret en faisant un point vers La Châtre. On passe celui-ci à 12h27, le vent commençant à être un peu moins défavorable, les estimées s’affinent un peu. Le sol montant tout doucement vers Guéret, nous faisons de même, 3500 ft pour le moment. 12h45, on passe verticale l’aérodrome de Guéret Saint Laurent et on contacte le SIV de Limoges pour connaître l’activité de la R148. Un coup de chance, elle n’est pas active donc tout va bien pour nous si ce n’est le vent, relativement fort dans le coin. Avec le relief, ça commence à bouger un peu.
On vise un cheminement un peu plus à l’ouest de la route, en direction du Lac de Vassivière ce qui nous permet de passer au vent d’une belle colline et de faire un peu de pente...
Lac de Vassivière
En vue du Lac, le sol est monté vers 2500 ft et les champs vachables ne sont pas légions… Une fois dégagés des espaces militaires, on monte à 4500 ft.
On met ensuite le cap vers Meymac ce qui nous fait passer pas très loin du terrain privé de Peyrelevade.
Terrain privé de Peyrelevade
Egletons est atteint à 13h15 et compte tenu du suivi carburant, nous pourrons rallier directement la maison.
Aérodrome d'Egletons
Les zones inhospitalières étant derrière nous, on peut reprendre une navigation plus conventionnelle. On passe la vallée de la Dordogne au Sud de Marcillac-la-Croisille puis cheminement à l’Est d’Argentat et voici la vallée du Cère atteinte à 13h30.
Vallée de la Dordogne
On est maintenant dans notre jardin et nous n’avons plus trop besoin de regarder la carte. Nous survolons Figeac à 13h45, en vue de Villefranche-de-Rouergue.
Figeac
La fin du trajet nous fait passer entre Albi et Gaillac puis juste à l’Est de Graulhet, en vue de la maison !!
Albi
On passe sur la fréquence de la Montagne, entrecoupé d’un contact rapide avec Revel pour la verticale et changement à nouveau vers 134,150. Les portes sont ouvertes et les planeurs sont en cours de préparation dans le hangar, nous faisons une verticale terrain et c’est l’atterrissage en 12 à 14h35.
4h15 de vol pour rejoindre la Montagne Noire et une consommation estimée à 32 litres à l’heure. L’avion s’est très bien comporté tout au long du voyage et il nous permettra de faire de belles balades dans la région.
Nous faisons les présentations avec les membres présents et laissons ensuite le Rallye et le Midour faire connaissance !!!
Préliminaires....
Excellents vols à toutes et tous !!!
Frédo & Clément.
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