ça n'a échappé à personne: dimanche, la neige est tombée sur Toulouse. Enfin, "neige", c'est un bien grand mot pour désigner de la pluie vaguement blanche qui fait "splotch" quand on marche dedans. Ceci dit, c'était assez blanc pour se poser des questions sur la possibilité d'atteindre le terrain. Le tragique week-end du 9&10janvier 2010 est encore gravé dans certains esprits (une journée complète pour atteindre l'aérodrome et désembourber les voitures... http://vvmn.free.fr/Saison%202010/album/Janvier/09-01-10/index.html).
Confirmation de la situation par Henri vers 9h: la Mazda n'ira pas braver les conditions hivernale et le président entame une improbable randonnée dans la poudreuse, allant à pieds de Saint-Ferréol au terrain. La côte n'est pas déneigée et il nous signale entre 10 et 15cm de neige sur la route. Qu'à cela ne tienne: nous partons de Toulouse pour vérifier de nos propres yeux.
Effectivement, par Castelnaudary, ça se présente mal...
Nous décidons donc de tenter l'ascension par la face Nord (Saint-Ferréol). La route est excélente jusqu'au musée Riquet; ensuite, c'est un peu plus hasardeux: pas une seule trace sur la neige, mis à part des pas qui sont certainement ceux d'Henri.
La route est magnifique, la voiture patine un peu mais finalement nous gagnons le terrain sans trop de soucis. Bref, on aurait eu tort de ne pas y aller, surtout que la vue valait vraiment le détour.
Arrivés au terrain, nous trouvons effectivement Henri au bureau. Au programme de la journée: bricolage. Quelques irréductibles ne tarderons pas à nous rejoindre après le repas (Olivier, Paulo et Nico, Pierre et Baptiste). La visite du Bijave avance tranquillement tandis que Henri et Pierre s'affairent entre autres sur les FLARM à installer.
La journée se finit donc dans l'atelier à la tombée de la nuit. Le départ fut un peu précipité, un front neigeux avançant à grands pas vers le terrain. Henri trouve un chauffeur pour le ramener à Saint-Ferréol, la descente à ski n'étant plus possible.
Confirmation de la situation par Henri vers 9h: la Mazda n'ira pas braver les conditions hivernale et le président entame une improbable randonnée dans la poudreuse, allant à pieds de Saint-Ferréol au terrain. La côte n'est pas déneigée et il nous signale entre 10 et 15cm de neige sur la route. Qu'à cela ne tienne: nous partons de Toulouse pour vérifier de nos propres yeux.
Effectivement, par Castelnaudary, ça se présente mal...
Nous décidons donc de tenter l'ascension par la face Nord (Saint-Ferréol). La route est excélente jusqu'au musée Riquet; ensuite, c'est un peu plus hasardeux: pas une seule trace sur la neige, mis à part des pas qui sont certainement ceux d'Henri.
La piste de ski de fond de Saint-Ferréol |
Les traces d'Henri encore fraîches |
Arrivés au terrain, nous trouvons effectivement Henri au bureau. Au programme de la journée: bricolage. Quelques irréductibles ne tarderons pas à nous rejoindre après le repas (Olivier, Paulo et Nico, Pierre et Baptiste). La visite du Bijave avance tranquillement tandis que Henri et Pierre s'affairent entre autres sur les FLARM à installer.
Henri en train de fabriquer un bidule pour mettre sur le truc; ça servira à fixer le machin |
Nico perce un autre truc pour fixer un machin, mais pas le même qu'Henri. Chacun son truc! |
Julien vérifiant que le bidule est bien installé dans le bazar. En plus il ne s'est même pas blessé; c'est rare |
Pendant que certains s'affairent au bricolage des trucs et des machins, d'autres cherchent un moyen de profiter de la neige avec les moyens du bord. Les pistes sont enneigées et malgré l'acharnement de ceux qui voulaient profiter du nord-ouest pour voir la pente enneigée depuis un planeur, il est impossible de rendre la 30 décollable... A la place, certains s'adonnent à la construction d'un bonhomme de neige plutôt bien proportionné.
Tandis que l'absence cruelle de luge au club (ben oui, on est mal équipé...) se fait sentir pour d'autres; c'est bien dommage quand il y a de la belle neige et qu'on est au sommet d'une montagne. Alors finalement, un ancien cône de nez de Bijave, une corde et une Safrane feront l'affaire pour expérimenter un remorqué voiture d'un genre un peu particulier:
Câble tendu, CRIS effectué |
La luge file à la vitesse hallucinante de 5km/h |
Le bobsleig du pauvre. N'empêche que la forme est idéale. Merci Wassmer |
Bon allez, fini de jouer. C'est marrant 5minutes mais la pause est finie: il fait froid, certains souffrent de problèmes d'humidité vestimentaire, voire de déchirure pantalonnale pour l'un des participants, et en plus on est venu pour travailler.