C'est le jour un, celui qu'on retient... Enfin c'est aussi celui qui commence une semaine qui, que, une semaine chouette.
Pour le briefing de 11h, François a essayé de ne pas trop démotiver les troupes. Décollage à 13h, pour une épreuve surprise, qui sera peut-être un concours d'atterrissage en temps imposé : 2m30s à partir du château de Vaudreuille... enfin si vous savez celui qu'on voit depuis la route... celui qui a été refait récemment, avec une piscine, mais si voyons Chantal tu vois duquel je parle ? Bref, la château.
Ceci dit on voit d'ici la journée à touriste. Comprenez du soleil mais peu d'ascendances. Le camping profite du petit déjeuner avec la vue.
De toute façon il faut décoller pour ça. Mais d'abord on mange. Oui parce qu'au briefing il a aussi été rappelé le fonctionnement du bar, des repas et ce soir de toute façon c'est la soirée d'ouverture. Donc Punch, filet mignon et une entrée chouette. Donc Julien part aux courses et le repas de midi n'est pas pris en avance. François postpone les décollage à 14h, puis 15h30.
Quand les courses reviennent, c'est la ruche qui s'affaire pour décharger les emplettes. Le J5 est le top des camionettes maraîchères. Pas cher le cageot d'asperges !
Pour occuper les troupes, montons un Spalinger. Un Spalinger S18, qui date de 1951, modèle reproduit d'une conception de 1936. Une aile en mouette caractéristique et un beau prêt de François et Chantal pour le musée. Le planeur pourra voler. En attendant il faut le monter. La notice de montage est fournie et elle est étonnamment littéraire. Chantal nous lit les instructions dans lesquelles il est question d'un chef et de 3 aides, ainsi qu'une personne de petite taille pour monter dans la remorque.
Le montage des ailes va bien, les commandes mettent un peu plus de temps. Les branchements automatiques n'avaient pas encore été inventés. Quand le planeur est fini, il est pas loin de 16h et le vent n'a pas encore décide de s'affirmer. Tant pis on va décider pour lui : alerte générale, tout le monde en piste ! Euh t'es sûr François ? Parce qu'il y a match dans pas longtemps : Toulon Clermont. C'est pas qu'on connaisse les équipes mais quand même, c'est match.
Le torpédo est de sortie pour une série de découvertes et de lâchers. Juju lâche Olivier. Olivier lâche Paul. D'autres intéressés tenteront l'expérience, toujours avec le sourire. Et pas trop de moucherons sur le sourire.
Tous les K13 volent, même le NB qui était bien caché au fond du Mistral. ET même : ça tient ! Certes; le premier vol en 2066 atteint 1500m ce qui ne sera pas revu ensuite. Mais on trouve assez couramment du 0,5 m/s qui permet à Supercrevard et à d'autres de tenir la demi-heure.
Au sol, un dispositif routier d premier ordre met les enfants au travail pour récupérer les planeurs en piste avec les golfettes. Conduite accompagnée seulement, ouf.
2 pleins de midour plus tard, il est pas loin de 19h et il est vraiment temps d'aller vers le bar.
Le menu du jour est tout beau tout chaud, mais avant c'est punch. Fruits rouges ou normal ? Oui. Oh ça suffit...
Apéroooooooooooooooooooo ! Bon si vous insistez. En plus il faut beau, le coucher de soleil offre un décor qui n'est franchement pas dégueulasse. D'ailleurs les gamelles baissent de niveau tout doucement. Enfin doucement. Enfin elles baissent en tout cas. Et tout le monde prend son temps, c'est le calme bien mérité, ça sent les vacances.
A table, l'entrée surprise contient... des légumes. Verts. Nooon ?! Ben si. Ca se mange bien en plus. Le filet mignon suit bien, avec sa purée maison et ses légumes. Le fromage enchaîne, la pêche Melba.
En fin de soirée, on ressort des films de planeur, vidéos de l'année vues à l'AG principalement. Il y en toujours qui ne les ont pas vues, et quand on les as vues on les revoit avec plaisir.
Il reste du punch, Juju remet la musique.
Demain, briefing à 11h.
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