Comment cela donc ? Deux articles dans la même journée ? On nous mène en bateau, on nous vend du rêve, on nous fait croire des trucs ! Alors oui comme ça, après une année remplie de 2 articles en 10 mois, on nous ferait croire que le blog est de retour avec une production plus que quotidienne. Arnaque, mensonge, fausse rumeur.
Oui en effet, cette année on reste dans le thème du banditisme.
Au passage, notez que la prohibition n'a pas atteint la vallée de la Durance, à l'inverse de Juju qui assure une production de qualité toujours servie en quantités appréciables.
Mais je m'avance. Reprenons au matin.
Ce matin donc, pour ceux qui ont lu le billet d'hier (publié ce matin, mais vous devriez arriver à comprendre tout de même même si vous êtes logés dans les Alpes), le rendez-vous était donné à 10h. A 10h, nous cherchions comment faire du café pendant que Bada fixait une roue en bois au mur, grâce à l'inestimable appui de JP, en plein effort sur cette photo.
Après un débat sur le fait de monter les planeurs en piste ou en face du chalet, choix fut fait de les monter au chalet, donc sur place avec moins de déplacement des remorques. Une quinzaine de personnes qui sortent les ailes du NC, c'est luxe. Mais quand on se dit qu'on peut en parallèle commencer à sortir le NB, là on augmente la température dans le cerveau des vélivoles impliqués dans la manip'.
En fait si, ça marche bien. D'ailleurs le NC et le NB sont montés sans trop d'écart de temps et après un gabarit pour placer les planeurs le soir à la fin des vols (on place les sangles sur les câbles), tous en piste.
Une fois en piste, le temps est venu des courses puis de la bouffe du midi. Chouette.
Les objectifs du jour sont pluriels : relâcher Julien P après un an sans planeur au Japon. Lâcher Tom sur le plateforme. Lâcher Hervé sur la plateforme. Finir le lâcher treuil de Tof. Du boulot donc, mais on peut optimiser si on dit que Hervé et Tom volent ensemble et se cross-lâchent ? Oui on peut. L'un des deux est instructeur, et l'autre connaît le terrain, ça passe.
Tout ça c'est bien beau, mais est-ce que ça vole ? Ben en fait non. En tout cas les premiers décollage avant 14h ne tiennent pas. Et personne ne se moque car personne ne tient. Même les locaux, même les suisses. Il faut attendre 15h30 pour avoir un premier vol qui tient et qui lance la mode pour l'après-midi. Et ce premier planeur est piloté par super-crevard, l'inimitable. A partir de là, tout s'enchaîne.
Les autres planeurs décollent, les plafonds sont accrochés, ça part vers le Peyron puis le glacier des Ecrins. C'est beau. Ca fait plaisir de retrouver enfin les sommets alpins que nous connaissons. Ce soir le briefing a décidé que l'heure de posé est tôtive : 18h50. En fin de journée et en retour de Peyron, le 2066 se met en patrouille avec le NB. Le soleil est encore haut mais c'est joli tout de même. Ce sifflement sous la verrière couplé au bip du FLARM qui indique une proximité presque fusionnelle. Ca doit être parce que c'est Steph qui pilote.
Et puis il est déjà tard alors on commence à descendre. Rapidement. Aux AF. Sauf que brusquement le 2066 rentre ses AF et vire à droite pour traverser la vallée en direction de la contre-pente. Je reste coi. En tout cas jusqu'à apercevoir deux silhouettes serrées en direction de cette contre-pente. Deux planeurs en patrouille. Le NB rentre les AF et vire à droite également. Une patrouille à quatre planeurs, c'est encore mieux.
Nous voici donc les derniers planeurs en vol. Le NC de la Montagne Noire, le NB de la Montagne Noire, le 2066 de la Montagne Noire, et le... SANO italien. Le CLAM est au sol, pas de bol.
Conscients de l'heure frontière qui approche, nous nous mettons en approche à 18h45, l'un derrière l'autre. Au sol, il est 18h50... et des poussières.
Le temps de ranger, et il est temps d'aller assister au discours des élus. Oh dommage, trop tard.
Mais l'apéro est toujours là donc ça va. Moustache. Et puis Juju apparaît avec ses pichets spécials. Nous voici revenus au début de l'article, donc au temps réel. Je vous laisse et je vous dis à demain, surtout que Julien finit de cuisiner. Miam.
Une fois en piste, le temps est venu des courses puis de la bouffe du midi. Chouette.
Les objectifs du jour sont pluriels : relâcher Julien P après un an sans planeur au Japon. Lâcher Tom sur le plateforme. Lâcher Hervé sur la plateforme. Finir le lâcher treuil de Tof. Du boulot donc, mais on peut optimiser si on dit que Hervé et Tom volent ensemble et se cross-lâchent ? Oui on peut. L'un des deux est instructeur, et l'autre connaît le terrain, ça passe.
Tout ça c'est bien beau, mais est-ce que ça vole ? Ben en fait non. En tout cas les premiers décollage avant 14h ne tiennent pas. Et personne ne se moque car personne ne tient. Même les locaux, même les suisses. Il faut attendre 15h30 pour avoir un premier vol qui tient et qui lance la mode pour l'après-midi. Et ce premier planeur est piloté par super-crevard, l'inimitable. A partir de là, tout s'enchaîne.
Les autres planeurs décollent, les plafonds sont accrochés, ça part vers le Peyron puis le glacier des Ecrins. C'est beau. Ca fait plaisir de retrouver enfin les sommets alpins que nous connaissons. Ce soir le briefing a décidé que l'heure de posé est tôtive : 18h50. En fin de journée et en retour de Peyron, le 2066 se met en patrouille avec le NB. Le soleil est encore haut mais c'est joli tout de même. Ce sifflement sous la verrière couplé au bip du FLARM qui indique une proximité presque fusionnelle. Ca doit être parce que c'est Steph qui pilote.
Et puis il est déjà tard alors on commence à descendre. Rapidement. Aux AF. Sauf que brusquement le 2066 rentre ses AF et vire à droite pour traverser la vallée en direction de la contre-pente. Je reste coi. En tout cas jusqu'à apercevoir deux silhouettes serrées en direction de cette contre-pente. Deux planeurs en patrouille. Le NB rentre les AF et vire à droite également. Une patrouille à quatre planeurs, c'est encore mieux.
Mais l'apéro est toujours là donc ça va. Moustache. Et puis Juju apparaît avec ses pichets spécials. Nous voici revenus au début de l'article, donc au temps réel. Je vous laisse et je vous dis à demain, surtout que Julien finit de cuisiner. Miam.
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