Le jour le plus long c'était la veille. Si vous n'avez pas lu l'article sur le samedi, veuillez je vous prie fermer cette fenêtre et commencer à lire dans l'ordre sinon c'est le bazar on ne s'y retrouve plus et puis quoi bon faudrait pas commencer à faire les choses à l'envers. Est-ce que moi je me pose en marche arrière ? Hein ? Quoi ? Oui bon, mais je ne pouvais pas prévoir. Comment ? Bon si d'accord je pouvais prévoir mais ne changez pas de sujet.
Le lendemain du jour le plus long, c'est une tradition antépénultième comme la saucisse du Lauragais. Le lendemain du jour le plus long c'est inscrit dans le marbre de la piste 12. Le lendemain du jour le plus long c'est comme le lendemain de l'AG : c'est Autan. Enfin d'habitude.
Quel ne fût donc pas notre étonnement de voir fleuri des bourgeons nuageux en forme de cumulus, et ce dès l'heure très matinale de 11h30. Remarquez il y en avait peut-être avant mais moi je n'y étais pas, je dormais. Des cumulus, tiens donc. Ce nuages disparus depuis l'époque de quand on volait. Et d'ailleurs je ne saurais trop vous recommander de lire l'explication scientifique rédigée par deux chercheurs américains très au fait de la climamatolologie, dans Ascendances 23. Et qui dit cumulus dit... Jean-Claude, certes, mais aussi du beau temps, du soleil et ce qui s'ensuit : des VIs.
Au calendrier, les pilotes VIs inscrits pour la journée se comptent sur les doigts de la main de la Vénus de Milo. Mais il y a des instructeurs, des pilotes de VI confirmés, et un président capable d'auto-adoubement VI, abemus autorisam et tout le toutim. Du coup Chewb accepte les inscriptions par paquet de 12. C'est sûr ils arriveront dans l'après-midi, à pied, en voiture, à moto.
En piste, l'après-midi s'organise avec quatre élèves à faire voler, deux pilotes remorqueurs, un enfant de 6 mois, une citerne à essence presque vide, des VIs qui arrivent, un pilote professionnel de golfette, des câbles de longueurs et de couleurs variées, encore des VIs, une VI perso (président, j'aime beaucoup ce que vous faites) et encore une élève de Steph.
Au début c'est un peu le bazar, oui, avouons-le, mais ça avance quand même. En piste 30, l'ASH du même numéro décolle en autonome de la puissance de son moteur, et de toute la vitesse du l'athlétique teneur d'aile qui a bien couru. Les K13 décollent : Philippe en solo, Jacques en instruction , Jean-Claude en VI. Le Twin avec moi-même en sieste arrière pour lâcher Franck. la planche est bien surveillée, les VIs sont bien briefés, le janus est présidentifié pour d'autres VIs, en version luxe.
La journée continue. Les cumulus s'en vont. Puis ce sont les pompes. Les biplaces continuent à instruire et à faire découvrir. Les mono ne sont pas en reste avec 2 LS1, un astir avec Eric à bord, un LS4 sans Jean-Claude à bord. Dans le remorqueur, Julien cède la place à Steph. On refait le plein. Les pompes décident que la journée est finie. Il n'est pas si tard, mais c'est dimanche, le weekend fut long, il est acceptable de ranger et de rentrer.
Evidemment, un apéro s'impose, au soleil déclinant, avec quelques restes de la veille sous forme liquide ou solide. Fromage, salade, chips, c'est un peu décousu mais c'est très agréable quand c'est consommé sur l'esplanade du K13 bar.
2 commentaires:
Tu es sur que ce n'est pas plutôt la venus de Tonymalt?
Tu es sur que ce n'est pas plutôt la venus de Tonymalt?
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