C’était annoncé depuis longtemps : le 10 mars c’est décrassage ! Bon évidement, vu le début d’année assez favorable niveau aérologie, beaucoup n’avaient pas attendu cette date !
Tout commença par des cours théorique le matin, tout d’abord avec le « vatiferbô » de François, cartes météo à l’appui. Tout ça pour laisser le temps à Frédo de trouver le bouton ON du PC – qui ce matin là était caché derrière une bouteille de rhum – et de lancer la présentation sur les consignes de piste. Ça a normalement beau être un rappel, il y a quand même eut quelques questions !
Pendant ce temps, dehors, on peut dire que le temps est de meilleur en meilleur ! Il est donc temps de laisser la salle de cours, d’avaler rapidement un buffet campagnard (pas le meuble) préparé par le comité des fêtes et de foncer tel Starsky et Hush de la brigade anti soif, sirène hurlante, vers les hangars !
La mise en piste et la répartition machine, faite sur le nouveau tableau de la tour – un grand merci à Frédo – sont assez vite réalisées.
Tous les biplaces disponibles sont de sortis pour décrasser un peu tout ce beau monde : D-2078 avec Julien, le CLAM avec Fredo, le twin avec Jacques et le bijave avec Chewb, mais pas en école ! Sans compter bien entendu les monos. Bref beaucoup d’activité pour exploiter les thermiques purs du jour qui ne culminent pas bien haut mais sont nombreux !
Le soir, les thermiques laissent peu à peu la place à de la restitution pour le grand bonheur de ceux qui attendent le couché de soleil.
Décollage tardif pour profiter de la pente
Pendant ce temps, en cuisine, une nouvelle épreuve Top Chef se joue. Aujourd’hui les candidats vont devoir sublimer une daube pour une armada de 30 vélivoles affamés et fins gourmets.
« Ça va pas être facile, les jurés sont de fins gourmets, pour sortir du lot j’ai pensé à un punch assez fort pour apporter une note anesthésiante en début de repas » nous confie un candidat confit.
Après finalement ce fut assez classique : Punch fruit rouge, normal ou les 2 ? euh… oui…
Bref le bruit ambiant commence à augmenter, le niveau du punch à diminuer, François vient piquer des trucs à bouffer en cuisine, Stephane Soulet drague une bouteille, on raconte sa journée, des exploits improbables, des prises de positions scabreuses sur la finale 30, on philosophe sur la blague du renard, sur le goût du punch par rapport à la dernière fois – un petit gout de banane cette année – d’autres draguent à tout vas et d’autres cuisinent, car l’épreuve est loin d’être finie !
Au neuvième « bon on mange » de François, on décide de passer à table et de commencer l’entrée par une salade – rassurez vous avec des patates, des croutons à l’ail, des œufs et des gros lardons- arrosée de moult bouteilles de vin.
Ensuite vint le bourguignon, fort apprécié – qui a dit qu’il y avait trop de pâte ??? – avec euh… du vin.
Après je crois qu’il y a eu du fromage, et le dessert aussi, et aussi François qui disait tous les 5 minutes « allez en piste ! ».
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Mais surtout il y a eu de l’amour. Torride, exacerbé, tendre. Une tension sexuelle à couper au couteau régnait dans la salle para sous les yeux ébahis de nos paparazzis. Des couples se sont formés :
Pour détourner l’attention, nos gentils organisateurs ont élaboré un spectacle pyrotechnique dantesque : le bar en était en feu, sans bien sûr oublier le spectacle de marionnettes d’une justesse excise, bientôt les vidéos...
Dans la lignée pyrotechnique, quelques cocktails enflammés ont été improvisés par les organisateurs : pastis, Kirsch, Cointreau, Grand Marnier, fruit du punch, le tout flambé et saupoudré de cannelle, avec un trait de jus de fruit. Et pour gouter ces mixtures, le comité des fêtes disposait de son disciple, de son playmobil de la picole : Emile. Bravo à lui !
Pendant ce temps, en salle le Pain était cuit, l’Olivier était mûr et le Polo était sale…
Confection d'un pain au lait
La soirée s’est terminée comme elle devait se terminer, tard.
Le lendemain, certains ont volé d’autres ont cuvé, dommage pour eux c’était une bonne journée ! D’ailleurs si vous avez des photos…
1 commentaire:
j'oubliais ! un grand merci à ceux qui ont fait la vaisselle !
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