Pour ce dimanche 15 septembre, la pente était annoncée. Par forcément très forte, pas forcément très sèche, mais quand même. Aux manettes (gaz et volets de capots) : Steph, le vénérable professeur d'Histoire qui sera notre guide pour ces journées du patrimoine vélivoles. Au sol, peu de monde. Et aujourd'hui le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un K13, et ceux qui ont un LS4. Pas de place pour la demi-mesure, on fait dans l'extrémisme.
Eric, Jacques, Philippe, re-Jacques et re-Philippe, ça c'est pour les biplaces. Henri et Olivier, ça c'est pour les LS4. On serait presque tenté par un décollage voiture mais le vent est un peu faible. D'ailleurs après les premiers remorqués (courts certes) les planeurs peinent à dépasser 650 m. C'est l'attente.
Puis ça chauffe (euh en fait non) et le vent forcit (euh en fait non-plus) ou en tout cas on s'y fait parce que les altitudes augmentent. A partir de là, 2 LS4, deux techniques. Le JO profite de son gain d'altitude (1300 m à Sorrèze tout de même alors que tout le monde reste en dessous de 1000) pour visiter la pente en mode AWACS, signalant le trafic à 15 kilomètres à l'avance. Le ZT va gratter un peu plus loin et visiter la chapelle, journées du patrimoine obligent.
A un moment on croit détecter des cumulus qui bourgeonnent, mais en fait non ce n'est que poudre aux yeux et nous revenons à notre relief. Au passage (sans jeu de mot), des vidéos, des photos, des vols en formation. Puis tout le monde se pose tôt, un verre d'eau et on rentre.
Sympathique petit dimanche.
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