Les prévisions météo ont tenu toutes leurs promesses ce samedi, avec des plafonds allant jusque 1700m par endroits et de bons varios. La famille Breguet était de sortie toute l’après-midi, ce qui a permis de faire quelques jolies photos de groupe grâce à notre équipe de spotters.
Jolie photo de famille. Pour l'achat d'un 901, une Fauvette offerte en porte-clé cadeau.
Le 901 F-CCCM; le dessous est encore propre, ça ne durera pas (cf plus bas)
La journée s’est finie sur une pente faiblarde à des altitudes frisant le zéro absolu, ce qui n’a pas découragé l’équipage du T21 en pleine traversée de la pente à la rame, assailli par les attaques frontales de l’ASH (on remercie Chantal pour sa confiance envers notre barque : « ne lui passe pas dessous, il pourrait tomber ! ») et se faufilant entre le LS4, le 901 et la Fauvette pour finalement se « vacher » en milieu de la 19, dans un endroit assez bien caché pour enlever les combinaisons de vol et se livrer à des choses inavouables.
Notons également le brevet de Franck Rempault avec Philippe, dignement salué par un jet de seaux d’eau. Franck s’est dit « très heureux », comme il a pu nous le montrer pendant le repas :
Les chromosomes punk de Franck prennent le dessus
Bravo à Franck, donc, et merci pour ce témoignage d’affection !
La fin de journée a été l’occasion pour Olivier d’arroser son lâcher Midour avant de s’éclipser pour des raisons obscures. La suite de la soirée est un peu décousue, il y était entre autres question d’histoires d’amour avec un canard en plastique, de punch fruits rouges et d’attaques obliques sur travers de porc.
Le dimanche a été plus calme, avec tout de même quelques jolis vols et un Breguet 901 allant visiter les champs d’un pays étrange que nous appellerons le Moustachistan tellement on a l’impression que le port de la moustache et de la chemise à carreaux y est obligatoire, même pour les femmes et les enfants. Pour couper court aux rumeurs : non, Emeric n’a pas fait de 901 ! C’est bien Henri qui a posé notre nouveau jouet dans un lieu encore indéterminé, puisque la machine était à cheval entre l’aude et la haute-garonne. Quand à ces féroces vélivoles qu’on entend mugir dans nos campagnes et qui viennent jusques dans nos bras pour égorger notre maïs et notre colza, c’est à coups de 4x4 qu’ils ont pu extirper le planeur de ce sol un peu trop meuble.
Le 901 en vadrouille à Vaudreuille
Le remontage du planeur a causé de lourdes pertes vestimentaires à cause de la débauche de graisse sur les longerons.
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