Alors que certains retournaient bosser lundi, d'autres avaient décidé de se retrouver à l'aérodrome. Ah, la Montagne, son paysage, son calme. Calme ? Ah non, pas le 30 avril 2012 en tout cas. Le hall de montage était rempli de machines bruyantes quoique fort utiles. Déjà en entrant dans la pièce, il y a comme un intrus : le tracteur. Et non content d'être rangé sur le côté, il est venu avec le matériel de tonte du gazon, har,aché, pendu au plafond et prêt à de lourdes réparations. Entouré d'un drap comme un hôpital de campagne des années 40, le mécanisme est prêt à subir les assauts d'une disqueuse puis d'un poste à souder. Des étincelles, de la poussière métallique, et du bruit donc.
Chirurgien-soudeur au travail
Abrité dans la salle peinture, un petit groupe tente de se reposer les oreilles en faisant de la douce menuiserie. Douce ? Non plus. Car après la scie égoïne et la ponceuse à main, c'est la scie circulaire qui retentira dans le petit local. Non sans avoir entre temps usé de la dégauchisseuse dans le hall principal. Rien du bien calme de toute façon. Tout ça pour le volet de la salle de bain du chalet qui a besoin d'une cure de rajeunissement et de dépourrissage.
Des copeaux pour une belle fenêtre
Un tracteur, un volet... C'est toujours un hall de mécanique vélivole ? Oui, car au passage il y a eu démontage du train du LS1 et collage de patins de bout d'aile sous les winglets du LS4. L'honneur est sauf.
Mardi (j'allais écrire dimanche, c'est beau les grands weekends), c'est le retour des cumulus. Avec des décollages tardifs entre 14h30 et 16h et peu peu nombreux (4 planeurs), la journée aurait pu paraître moyenne à l'oeil non aguerri de l'observateur torve et mitigé du touriste bêlant. Que nenni.
En transition ascendante
Des Vz puissantes, des rues cheminantes et des destinations variées : Bourg St Bernard, Albi, le Pic de Nore.
Mazamet
Et tout le monde posé sagement à 18h histoire de rentrer à la maison pas trop tard.
La pluie arrive des Pyrénées
Hmmm, je crois que je suis le dernier
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