Nombreux sont
ceux cette année qui ont répondu à l’appel de la veulerie vélivole, à l’appel
de la Montagne, de la compétition décalée, du bois, de la toile, de la finesse
à 2 chiffres significatifs et du punch. Cette année, en effet, l’équipe Black
Mountain pour le concours K13 est pour le moins conséquente : 13
personnes ! Adrien Cabel, Julien Pain, Baptiste Pages, Franck Rempault,
Paul Lebaillif, Thierry Gouzy (un import Puivertais), Sebastien Paffoni,
Christophe Bertorottière, Nicolas Dubié, Eric Chêne, Gaby Blanc, Nicolas
Rabouille et Julien Bernage forment l’équipe. A cela nous pouvons ajouter
l’équipe Normande de St Romain, avec 3 autres personnes et un K13, le JX,
planeur de lâcher de Florence. Bref c’est ce qu’on appelle un débarquement !
Heureusement le CA a fait les choses en grand en nous prêtant les 2 K13 D-2078
et F-CMNB, et Frédo nous prêtant le CLAM (Merci à vous !).
Les K13 sont
démontés et harnachés somme toute assez rapidement le jeudi soir, et c’est donc
assez tôt que le premier convoi prend la route le vendredi, suivi assez
rapidement du deuxième, et enfin pour un départ vers 17h de celui des
« travailleurs », il en faut pour payer la retraite de Jean
Claude !
Prêts au départ
Et comme chaque année, c’est le ballet des retours de vacances
que nous devons affronter, au milieu des aoutiens repus de tapas, dorés comme
des gambas à la plancha, les convois se faufilent mais ne peuvent éviter les
traditionnels bouchons de Montpellier. C’est respectivement pour l’apéro, le
repas et le digestif que les 3 convois arrivent au fond de la vallée de St
Crépin ce vendredi soir pour un camping improvisé autour des planeurs. A ce
sujet, les utilisateurs de tentes 2 secondes ont été grandement favorisés,
parce que monter une tente dite classique, de nuit, fatigué et un brin éméché,
c’est pas le plus facile !
Les manouches sont de retour
Pour les
néophytes, le réveil est impressionnant, partout autour de nous s’élèvent de
gigantesques montagnes, transformant cette vallée ou règne, il faut l’avouer,
une claustrophobie latente, en une gigantesque salle polyvalente, ornée de part
et d’autre de gigantesques murs d’escalade.
Ce Samedi, la
météo n’est pas des plus optimiste, du moins aux dires des locaux, mais il en
faut plus pour nous décourager, c’est même vers 12h30 que nous commençons les décollages,
au treuil bien entendu ! Après un début de journée pas forcément évident,
le temps s’améliore, le plafond aussi et nous faisons de bien beaux vols vers
les Ecrins et le glacier blanc, un peu souillé en cette période.
De grosses turbulences et un ciel chargé au Glacier pas si blanc
Nous
enchainons les vols pour permettre à tout le monde de se mettre en l’air, seules
quelques gouttes nous feront redescendre, un peu en retard pour l’apéro
organisé par les locaux.
L’année dernière,
nous avions entièrement squattés chez Micro Bada, un ami qui a un chalet
directement sur les pistes (de planeur, pas de ski), mais cette année, à 13 ça
se serait plutôt transformé en invasion. Nous avons donc penché pour le camping
à coté du terrain, mais pour les repas, nous sommes restés chez Micro ! Et
ça en fait du monde à nourrir : 20 personnes à chaque repas, car il faut
rajouter les pilotes normands, les propriétaires, la famille Bacon, l’amiral et
les invités surprises.
Dimanche nous a gratifiés
d’un impressionnant ciel bleu, pas un nuage à des centaines de kilomètres à la
ronde. Mais la journée fut bonne, et nous avons même tourné le circuit avec
brio.
Un bon plafond...
En fait on pouvait faire ce qu’on voulait en 4 branches et 1h30. Pour
notre part nous sommes allés faire un tour vers la frontière italienne et la
vallée de Briançon avant de faire un petit sprint final vers Saint Crépin et
boucler le tout à dans les 70 de moyenne ! Ce qui nous vaut de finir dans
les 10 premiers. Ça ne durera bien entendu pas car qui dit bon résultat le
premier jour, dit qu’on se retrouve dans la poule des bons le lendemain !
En attendant il
faut fêter ça le soir, allez ! Quelques décilitres de punch et de
cocotski ! Ce n’est pas le tout mais on a un film à tourner. Et oui, comme
l’année dernière, nous avons décidez le temps d’une semaine de troquer nos bobs
contre la casquette de Steven Spielberg vélivole. Le film ayant encore quelques
petits problèmes de calage, nous le mettrons en ligne une fois fini.
Le lundi restera
LA journée de la semaine, aujourd’hui le BM et le Nemo sont dans la poule 1, au
programme : 224 km, le NB quand à lui est dans la poule 2, avec 170 km à
tourner. Comme la veille, l’absence d’ombre se fait sentir et dessèche un peu
les pilotes.
Grosse activité avant le départ
Mais le décollage se fait tôt et le plafond est très vite atteint.
Au programme pour le circuit long : Départ St Crépin, Lac des Sagnes, dans
le fond de la vallée de Barcelo, La Malop (ah la malop elle a le cul…) près de
Gap, et le bout de la montagne de Coupe, au sud de Digne.
Ciel bleu vers Barcelo
Le départ est
facile : il n’y a qu’à suivre le Juliette Kilo de Pierrelatte, mais arrivé
dans la vallée de Barcelo les choses se gâtent, enfin disons plutôt qu’on se
fait copieusement semé ! Il faut donc se débrouiller tout seul, mais il
faut avouer que ce n’est pas non plus trop difficile. C’est le deuxième point
qui est plus problématique : il est situé, n’ayons pas peur des mots, en
plaine ! En effet, quand on sort du Mercantour, les jolies collines vertes
qui culminent à 1500m, ça fait doucement rigoler. Mais bon on trouve des
pompes, le cheminement n’est pas parfait mais ça avance, enfin pas pour tout le
monde : Paul Lebaillif, qui vole sur le JX Havrais pour la journée a
préféré visiter le terrain de La Motte du Caire, manque de bol, les pyramides
étaient fermés. Les plafonds sont plus modestes, exit les 3500m de plaf et
bienvenue aux faibles 1800m. On avance tranquillement plein sud, dans le local
de Saint Auban puis des champs de Marcoux avec quelques points bas vers les
1400 m. Nous sommes 4 maintenant, nous nous sommes volontairement fait
rattraper par Gaby et quelques autres. Après le troisième point c’est la ruée
vers le nord et un magnifique « tankage » au pied du Cheval Blanc, un
peu à cause de Gaby qui refusa de prendre un premier pétard « c’est bon
vas-y pousse c’est fumant cong ! ». Et il faut reconnaitre que le
doute à progressivement emplit le K13, l’hypothèse d’une tant redoutée vache,
qui plus est à une distance plus que gargantuesque de Saint Crépin, s’est fait
de plus en plus insistante. Mais à force d’astiquer les sabots du Cheval on
arrive tant bien que mal à se hisser au sommet, attention à ne pas dériver de
l’autre coté, l’équipage du Roméo Delta en a fait la tragique expérience :
plus de 8 h de dépannage pour aller les chercher à Thorame, presque autant que
pour arracher Jean Mi des griffes d’une châtelaine ! Après ces quelques
mètres de gain et une pompe providentielle, nous voilà revenu sur le parcours
du combattant où les conditions sont bien meilleurs. L’arrivée en finesse max
sur plus de 30 km avec le vent dans le dos dans le venturi s’est fait sans
problème.
Le Némo en transition
Le deuxième vol
s’est refait… avec les mêmes, les autres étant partis en dépannage ou dans
d’autres planeurs de St Crépin qui ont tournés plus vite que nous. Facile avec
nos pauvres 60 km/h de moyenne. Mais enfin on a tourné 224km en K13, ce n’est
pas tous les jours !
L’annonce des
résultats nous confortent sur un point : on n’était pas dans la bonne
poule, le premier tourne à plus de 90 km/h de moyenne, nous reléguant au fond
du classement. Dans une autre poule on s’en serait facilement sorti au vu des
moyennes. Au moins on est dans une poule plus faible : la dernière !
On se rattrapera demain.
Mais le mardi, la
météo en a décidé autrement, seul 2 poules décollent, le NB a la chance de
pouvoir partir et de permettre à Franck et Nico de faire 3h de vol sans problème
(mais un peu de pluie).
Ceux qui ont pu voler le mardi...
C’est donc vers le bar qu’on se retourne et vers une
soirée plutôt sympathique bien que fraiche.
Le mercredi fut
un peu meilleur : au moins on a décollé !
On a même tourné l’épreuve
du jour en… 30 min, soit 115 km/h de moyenne !! Bon, on n’a pas fait
beaucoup de virage. D’ailleurs il n’aurait pas fallu plus longtemps d’épreuve,
la pluie nous rattrape et nous oblige à nous poser, juste avant un bon coup de
vent.
Mais aujourd’hui, après le coup de vent et un peu de pluie nous avons pu
redécoller et faire quelques heures supplémentaires, rien de fabuleux, mais
c’est mieux que de boire des bières au bar, encore que… bon on va faire les 2,
voler et aller boire des bières ensuite !
Le Jeudi quand à
lui fut totalement bâché, pluie torrentielle le matin, pas top l’après midi. Un
rafting est organisé par le club, Baptiste et Franck y sont allés. De notre
coté ce répit permit de bien préparer la soirée du soir que nous
organisons : 140 personnes de prévu pour cette troisième édition de la fête
du punch du mois d’août. 40 kg de Porc, 30 kg de pommes de terre, 22 pot de
crème, 50L de punch, 8 cuby de rouge, 15 boites de taboulé, 60 baguettes, 3.5
kg de fromage, le rayon complet de yaourt, bref des quantités qui font rêver…
Après notre passage, il ne restait plus de nourriture dans la vallée. Pendant
qu’on préparait le punch, la marinade et les salades, l’autre partie de
l’équipe finissait le montage du film.
On pensait que
les gens allaient être abattus par cette journée de non activité, et bien pas
du tout ! On n’a pas eu besoin de crier trop fort « Apéro » pour
voir la horde débarquer et prendre d’assaut les marmites. Au programme :
Punch Exotique, Punch Fruits Rouges et Cocotski. Après 30 minutes, on a laissé
les voraces lécher le fond des marmites et nous sommes passés à l’entrée.
ça cuit !
Le
bruit à beaucoup augmenté, nous avons failli manquer de vin, on en a remis, le
bruit a encore plus augmenté. Nous avons diffusé le film de cette année, et
malgré les problèmes de mixage son (nous n’avions pas encore acquis les
subtilités de la table de mixage mise à disposition), la franche rigolade était
au rendez vous.
Le niveau descend, le bruit augmente
Profitant de l’ambiance, nous avons poussé la musique,
transformant le hangar où le repas se produisait en véritable discothèque,
digne du Rolls ou de la Bergerie (pour les connaisseurs, hein Steph !). Et
là c’était la folie, ça dansait sur les tables, un contest a même eu lieu entre
les gens de St Rémy, Pierrelatte et Baptiste, qui les a mis chaos grâce à son
déhanchement chaloupé et sa technique de shuffling !
Le problème c’est
que Bada a préféré clôturer rapidement la soirée par peur de ne pouvoir faire
l’épreuve du lendemain, c’est donc vers minuit et demi, avec une ambiance de
folie qu’ils nous ont carrément coupé l’électricité ! Il y eut tour à tour
de la déception, de la colère, de l’incompréhension, de la supplication, des
insultes, des chansons paillardes, des verres renversés et enfin une transhumance
vers la piste où les survivants, dont un champion du monde se sont réchauffés
avec les quelques bouteilles sauvées du hangar et une poubelle, servant de
caisse de résonnance pour un iphone. Le froid eut raison progressivement de
l’ambiance et des protagonistes, enfin pour ceux qui se souviennent de la fin
de soirée !
Le matin du
vendredi fut difficile pour le plus grand nombre, sauf pour nous ! Après
tout on s’était entrainé toute la semaine !
la preuve en image...
Aujourd’hui, c’est
compliqué : le vent est nord, et très fort. Au final aucune épreuve ne
sera lancée mais nous avons eu la chance de pouvoir lancer les 3 K13 avant
l’arrêt complet des décollages. Et il faut avouer que c’était plus que sportif.
Déjà, le vent étant dans le sens inverse de d’habitude, il faut penser à
l’envers ! Ensuite, il fait froid, l’iso zéro est à 2000 m et nous sommes
montés à 4000 m, j’en veux pour preuve la neige qui a commencé à recouvrir les
sommets environnants… Et enfin ça turbulait vraiment beaucoup, la notion de
liberté dans la phrase « pas d’objet libre dans sa cabine » prend alors tout
son sens, tout semble habité dans le frêle cockpit, les objets prennent vie et
se mettent à danser au rythme saccadé de l’aiguille enrobée de radium du variomètre,
qui d’ailleurs préfère danser un bon punk qu’une tranquille valse. Près du
caillou, ça devient problématique, il faut voler vite, 100 km/h mini à la
pendule, de toute façon c’est bien connu, sur la pente comme au bistrot, une
seule règle : la vitesse. Après beaucoup de tentatives infructueuses, nous
choppons finalement l’onde, mais le froid aura rapidement raison de l’équipage.
Et c’est frigorifiés et un peu séchés qu’on se repose en 34 avec 35 kt de vent
au sol, mais finalement pas trop turbulent.
Tiens, il a neigé cette nuit !
Après accrochage serré des
planeurs, direction le bar, par contre ce soir on ne mange pas dehors mais dans
le hangar : il fait beaucoup trop froid !!! Nous avons fait un peu la
fête histoire de retester un peu la sono…
Le vent nord est
toujours de la partie ce samedi matin, mais beaucoup moins fort, après beaucoup
de tâtonnements, les organisateurs décident de lancer une dernière épreuve. Les
planeurs sont mis en piste du mauvais coté pour permettre une transhumance le
long de la piste en dur et ainsi de prendre de superbes photos.
Malgré le pessimisme ambiant, les planeurs sont décollés pour tourner l’épreuve, mais seulement au remorqueur, ce qui prend beaucoup plus de temps. Avec Gaby on décolle plutôt dans les derniers, pour changer… Le circuit est un peu technique, et vu qu’il est difficile de monter haut – pas plus de 2500m – c’est très technique. D’ailleurs Gaby n’a pas tourné. Pour ces 60 petits kilomètres, il fallait aller dans la vallée de Vallouise, au nord… et sous la neige fondue en ce qui concerne le BM niveau timing… Le retour du point fut assez épique, à 1800 m nous sommes en train de longé une pente, qui n’a même pas de nom, c’est dire si la montagne avait été jugée peu intéressante. Comme dans un ascenseur de piège de cristal le planeur semble aspiré par le bas de la vallée et le joli village d’Argentière. Nous somme cap plein Sud, direction la pente que nous avons déjà arpenté plusieurs fois dans la journée, en local des champs de la roche de Rame, certes, mais plus pour longtemps si on continue à tordre l’aiguille du variomètre sur sa butée négative. On arrive finalement vers 1250 m sur le rocher de Touard, ce n’est pas bien haut et ça pousse moyen, mais bon ça repart et ça nous permet de boucler le circuit, non sans laisser quelques dizaines de km/h de moyenne sur ce coup idiot !
Malgré le pessimisme ambiant, les planeurs sont décollés pour tourner l’épreuve, mais seulement au remorqueur, ce qui prend beaucoup plus de temps. Avec Gaby on décolle plutôt dans les derniers, pour changer… Le circuit est un peu technique, et vu qu’il est difficile de monter haut – pas plus de 2500m – c’est très technique. D’ailleurs Gaby n’a pas tourné. Pour ces 60 petits kilomètres, il fallait aller dans la vallée de Vallouise, au nord… et sous la neige fondue en ce qui concerne le BM niveau timing… Le retour du point fut assez épique, à 1800 m nous sommes en train de longé une pente, qui n’a même pas de nom, c’est dire si la montagne avait été jugée peu intéressante. Comme dans un ascenseur de piège de cristal le planeur semble aspiré par le bas de la vallée et le joli village d’Argentière. Nous somme cap plein Sud, direction la pente que nous avons déjà arpenté plusieurs fois dans la journée, en local des champs de la roche de Rame, certes, mais plus pour longtemps si on continue à tordre l’aiguille du variomètre sur sa butée négative. On arrive finalement vers 1250 m sur le rocher de Touard, ce n’est pas bien haut et ça pousse moyen, mais bon ça repart et ça nous permet de boucler le circuit, non sans laisser quelques dizaines de km/h de moyenne sur ce coup idiot !
Le deuxième vol
de la journée fut anecdotique : un orage sournoisement planqué derrière la
tête de Loïc Peyron nous tomba dessus en traitre, forçant tout le monde à se
poser, après seulement 30 min de vol…
Après l’averse,
nous avons démonté les planeurs, se précipitant ensuite vers l’apéro et le
repas organisés par St Crépin. Et là grosse déception : vin chaud en
apéro ! Encore heureux, il nous reste du rhum. S’en suit le repas et le
classement, plus factice que d’habitude, c’est dire. Et oui avec seulement 3
vraies épreuves, tout le monde se tient dans un mouchoir de poche. Nico s’en
sort plutôt honorablement avec une dixième place, il profite des bons résultats
du lundi : étant dans une poule facile il a pu engranger un maximum de
point et ne pas trop en perdre sur les petites épreuves ! Nous avons à
nouveau diffusé quelques films, celui de cette année, de l’année dernière, la
rétrospective de Christophe. Et vers 23h30 il a fallu reprendre la soirée en
main, la salle commençant à se vider. Nous avons relancé la musique et c’est
reparti comme jeudi. Sauf que là, personne n’est venu nous
débrancher !
ça mixe sévère !
Évidemment ça
s’est un peu senti le lendemain, encore heureux que d’autres s’étaient couchés
tôt pour faire la première partie du trajet retour. Un trajet sans encombre, de
7 heures, qui permis de remonter les 3 K13 rapidement et de profiter d’une
bière bien méritée histoire de fêter nos 2 nouveaux instructeurs : Olivier
et Florian. Olivier qui sera sûrement dans un des K13 l’année prochaine ! Mais
ça c’est une autre histoire !
Même si la météo
ne nous a pas gâter, enfin cette année on est habitué, nous nous sommes
vraiment bien éclaté dans les montagnes, une bonne ambiance et quand même
quelques très beaux vols. Un grand merci au club pour le prêt du 2078 et du NB
et à Frédo pour le CLAM. En espérant pouvoir aligner un tel armada l’année
prochaine
L’aéroclub de
Saint Crépin nous a gratifiés du titre de coorganisateurs de la rencontre, ce
dont nous sommes assez fiers. Il a même été question de faire une première
manche éliminatoire chez nous. Si nous étions sûrs d’avoir du nord ouest ça
pourrait être un événement vraiment sympa, wait and see…
Bien entendu tout n’a pas été abordé dans ce résumé, alors si vous voulez
en savoir plus sur la casquette de Peter Bacon, sur les babyphones à
thermomètres, sur le Tonymalt et le Milo, sur les abeilles à puces, sur les
Chinois qui roulent les R, sur l’arrogant échec de Baptiste au Cardinal Paf, sur
l’utilité d’une baignoire à 1500m, sur la puissance d’un Tigre, sur la
sédentarité apéritive de Gaby, sur les vacances au Cap d’Agues d’Eric, sur le
fait que Franck se couche toujours avant minuit, sur les coups de téléphones
nocturnes de Baptiste ou sur le modélisme nocturne, vous pouvez venir nous
demander, ou bien réserver dès à présent votre billet pour l’année
prochaine !
1 commentaire:
Carrément co-organisateurs, c'est la classe. Bravo !
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